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Energie neutre en carbone

Publié le 12 mars 2020 à 14h54Mis à jour le 28 août 2024 à 14h48

Faire le choix d’une énergie neutre en carbone, c’est à la fois réduire sa consommation, la compenser par des actions, ou l’optimiser en optant pour des énergies renouvelables.

 

Énergie neutre en carbone : comprendre d’abord le concept de neutralité

On l’appelle aussi “compensation carbone ” : face à l’urgence climatique, le concept de neutralité carbone a profondément changé notre façon de consommer.

Nourris par les réflexions du GIEC, les orientations émises lors du Protocole de Kyoto et des Accords de Paris visent désormais la neutralité carbone à l’horizon 2050. En cause : le CO2, principal gaz à effet de serre dans l’atmosphère, qui accélère le réchauffement climatique.

Cette neutralité carbone ne signifie pas cesser d’émettre ces gaz à effets de serre, mais plutôt tenter de les réduire, voire de les compenser.

Pour ce faire, deux options sont possibles :

  • Diminuer les activités émettrices de gaz à effet de serre (GES) dont les sources d’énergie sont généralement issues de la combustion d’énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz).
  • Compenser les émissions de gaz à effet de serre grâce à des actions au bilan carbone  positif, comme la reforestation ou le reboisement. On crée ainsi des puits de carbones, capables de séquestrer le CO2 par photosynthèse.

 

Qu’est-ce qu’une énergie neutre en carbone ?

Pas si simple de répondre à cette question ! Il faut bien comprendre que toutes les énergies ne sont pas nées égales.

Les énergies fossiles “traditionnelles” comme le charbon ou le pétrole sont pointées du doigt car leur combustion dégage beaucoup de CO2 . Le gaz naturel est lui aussi un hydrocarbure, comme le pétrole, mais demeure le moins carboné de tous.

Actuellement les plus valorisées dans le cadre de la transition énergétique, les énergies renouvelables comme l’éolien, le solaire ou encore la biomasse sont considérées comme “durables” et “propres” car elles n’émettent pas de CO2 .

Mais la construction des infrastructures pour produire ces énergies peut émettre du CO2 ! C’est ce que l’on appelle des ”émissions intermédiaires”.

Par exemple, utiliser un vélo dans le cadre de ses transports est une bonne chose, car son utilisation n’émet pas de CO2 . Toutefois, la construction de ce vélo, l’ensemble de son cycle de vie, génère certainement des émissions intermédiaires.

Pour viser la neutralité carbone, il faut donc adopter une certaine sobriété (en réalisant des travaux d’isolation ou en changeant son mode de transport quotidien) tout en optimisant nos choix énergétiques (en privilégiant les énergies renouvelables, par exemple.)

ENGIE propose d’agir directement contre le réchauffement climatique grâce à l’offre de fourniture de Gaz Naturel « Compensation CO2».